BERLIOZ • la première chose que je regarde chez un homme, c'est sa femme.

Il n'y a rien de plus trompeur qu'un sourire ...

« Je t'ai dit que je ne voulais pas de ce putain de bébé ! Ce n'est pas parce que madame n'a pas pu avorter que je vais passer ma vie à changer des couches ou prendre de soin de ce truc ! » - « Tu veux que je fasse quoi ! Je ne vais pas l'abandonner maintenant qu'il est là ! » - « Écoute moi bien, c'est lui ou moi et tu sais que si tu pars je te remplacerais en un claquement de doigt et que tu ne trouveras personne pour s'occuper de ton cul alors que t'a un gosse à charges ! » Elle avait encore eu de la chance ce jour-là, il ne l'avait pas frappé. Ils étiez encore dans la chambre d'hôpital la jeune femme venait d'accoucher il y à quelques heures, le bébé, son bébé, Berlioz dormait à côté malgré que cet enflure hurlait. Elle ne voulait pas de cet enfant, c'était juste un accident elle son rêve c'était de devenir avocate et non mère au foyer ! Pourtant, elle n'avait pas pu avorter elle trouvait ça totalement horrible étant donné qu'il n'avait rien demandé à personne ce petit être. Mais, finalement celle-ci fini par céder aux menaces de l'homme qu'elle croyait aimé et l'abandonna dans un orphelinat sous la contrainte de son conjoint. Berlioz avait à peine un mois quand la mère biologique le ramena dans un orphelinat pour enfants abandonnés. Une enfance qui fut difficile pour Berlioz malgré tout puisqu'il reste jusqu'à s'est un quatre ans la-bas avant de rencontrer la famille Carter-Duma qui à de suite succombé aux charmes de Berlioz. Il n'avait encore aucun nom de famille à ce jour jusqu'à sa rencontre incroyable avec la famille Carter-Duma. Ils auraient pu le laisser de côté en sachant que la mère était déjà enceinte de six mois mais, non ayant eu un coup de cœur pour le charmant garçon ils ont fini par l'adopter, ils l'ont aimé et chérir comme leur propre enfant. Une fois l'adoption terminée et officiel, le petit garçon pu enfin rentrer dans une belle et grande maison. Une maison où tout le monde s'aiment sans exception, c'est quelques mois plus tard que Berlioz découvre enfin sa petite sœur. Le jeune garçon la gâté et la surveiller constamment et sans aucune rancœur. C'était déjà bien beau que ses deux jeunes adultes accepte d'adopter un petit garçon alors qu'ils devaient devenir parents quelques mois plus tard. Bref, l'enfance de Berlioz fut encore plus émerveillé à son adoption mais, surtout dès la naissance de sa petite sœur Lunà.

La passion est un feu si ardent que même une fois éteint, il nous habite encore longtemps.

Berlioz, seize années, professionnel pour faire le mur, allé dans des fêtes bien trop arrosés pour son jeune âge, et pour l’instant, en pleine affaire avec sa sœur. « Lunà, je sors. Tiens ta langue ou je te la coupe. » - « Si je viens avec toi. » - « D’accord, mais fait attention à toi. » Berlioz n’appréciait pas plus que ça de se trimbaler sa sœur, mais puisque c’était nécessaire. Les deux se préparèrent rapidement, et lorsqu’une fois habillés, ils se retrouvèrent, les deux eurent un temps d’arrêt face à l’autre, étonné devoir à quel point son semblable avait grandit. Lunà n’avait plus rien d’une enfant, non, elle avait des formes, était plutôt grande, et ses longs cheveux bruns tombaient en cascade sur ses épaules d’une façon tout à fait naturelle. On pouvait dire sans se tromper qu’elle était jolie. De son coté, Lunà constata à quel point son frère avait commencé à prendre du muscle, et s’embellissait avec l’âge. Son visage avait quitté les traits de l’enfance, et il ressemblait plus à un jeune homme qu’autre chose. Dans la ville de New York, où tout deux étaient nés, la famille Carter-Duma était connue pour les fêtes qu’ils organisaient chez eux, mais les enfants eux, étaient connus surtout pour participer aux meilleurs partys, et être des fêtards invétérés. Bref. Cependant, la soirée ne fut pas si merveilleuse, cette fois ci.

Berlioz avait tendance à se montrer trop protecteur envers sa frangine, qui supportait difficilement que son frère soit sur son dos de façon si constante. Ils avaient beau en parler, lui, lui dire qu’il arrêtait, rien n’y faisait ; il fallait qu’il la surveille. Alors que le jeune homme de seize années dansait collé contre une charmante demoiselle du nom de Constance, il repéra sa sœur, dans les bras d’un homme qu’il ne connaissait pas, et qu’il considéra trop âgé pour elle. Lâchant sans plus s’en préoccuper la jeune femme avec qui il était, Berlioz se précipita sur l’homme, et sans même prévenir, le décolla de sa jeune sœur, bien qu’ils eurent le même âge, et d’un parfait crochet du droit, envoyant l’adolescent inconnu plus loin. Il aurait un bel œil au beurre noir demain, celui là ! Essuyant le filet de sang qui coulait le long de sa bouche, l’inconnu grommela, et s’éloigna sans répondre à la provocation de Berlioz. Ce n’était pas la première fois qu’il se battait, loin de là, mais c’était la première fois qu’il cherchait à défendre quelqu’un qui lui tenait à cœur. Lorsque les deux rentrèrent, grimpant par la fenêtre de la villa qu’ils habitaient, Berlioz eut droit à un sermon de la part de sa frangine. « Qu’est ce qui t’as pris ! Tu n’avais pas à faire ceci Berlioz » - « Ne me parles pas ainsi ! Je fais ce que je souhaite, après tout. » Après cette rapide embrouille, les deux jeunes allèrent se coucher, l’un aussi énervé que l’autre.

Le problème tu vois, c’est que je ne peux m’empêcher de penser à toi ...

Les notes d'Apollon au collège sont en chute libre, et Sinéad n'arrive pas à lui rendre la raison quand à ses études, puisqu'il montre clairement qu'il n'en a rien à faire, quand leur père revient, il essaye vainement à son tour de lui faire comprendre qu'il doit se montrer plus sérieux, qu'il doit agir comme un exemple vis à vis de sa petite sœur mais, ça ne fonctionne pas non plus, en plus de ça Alekseï enchaîne beaucoup plus de missions, et le tout n'aidait en rien à arranger la relation entre Berlioz et Sinéad, c'est même tout le contraire, car il fait bien comprendre qu'il se fiche des études puisqu'il sait pertinemment que comme son père il finira marine car c'est comme ça dans la famille et puis il était aussi très fier de son père, et veux tout simplement faire comme lui pour le rendre fier. La relation entre Berlioz et Sinéad se calme un peu, et dans la famille Carter-Duma tout semblait aller pour le mieux, malheureusement un drame vient tout briser, Alekseï a été tué lors d'une mission, Sinéad leur mère ne s'en relève pas et tombe dans une dépression, et sa relation avec son fils reprend le chemin de la dégradation, âgé de seize ans il tourne dans une mauvaise passe, et commence à faire un peu n'importe quoi, il ne se rend plus vraiment en cours, il se met à fumer, et lors de certaines soirées il tombe même dans le vice de la drogue. Malgré tout Berlioz, qui depuis qu'il a vu sa petite sœur s'est confié la mission de la protéger, et qui depuis la mort de leur père ne fait qu'augmenter cette protection envers Lunà. Le côte garçon manqué de sa sœur les rends encore plus complice qu'ils ne le sont déjà, Lunà passe beaucoup de temps avec son frère, suivant un peu ce dernier. En grandissant Berlioz ressemble de plus en plus à son père, que ce soit au niveau du comportement, où même tout simplement au niveau du physique, ce qui semble avoir pour réaction au près de leur mère de s'enfoncer un peu plus dans leur dépression, ne semblant toujours pas remise de la mort de son mari. Mise à côté de sa relation avec sa sœur, ainsi qu'avec ses amis, Berlioz s'amuse avec les filles, il ne semble pas vouloir prendre la peine de s'attacher, au contraire il trouve ça stupide. Finalement, sa mère ayant une immense difficulté de faire son deuil d'Alekseï son mari décide finalement de quitter Los Angeles pour se rendre à New York avec ses deux enfants. Berlioz était âgé de treize ans quand il arrive enfin à New York dans une ville toute nouvelle où il avait du mal à s'intégrer par la même occasion. Mais, le jeune homme fit rapidement la connaissance de trois sublimes jeunes demoiselles qui se prénommer Rowenä, Rheagan et Eden, trois magnifiques brunes qui faisaient parti de la même famille. Au départ, c'était une simple relation amical entre Rowenä et Berlioz mais, également Rheagan et Berlioz mais, rapidement le jeune homme tomba amoureux de la sublime et grande sœur Rowenä. Ne supportant pas, que celui-ci s'intéresse a Rowenä et non à elle, Rheagan a tout fait pour le séduire mais, rien a faire. C'est après plusieurs mois qu'il déclare sa flamme a Rowenä et qu'ils se décidèrent de se mettre ensemble puisque leurs sentiments étaient totalement réciproque. Il a suffit d'une seule et unique connerie irréversible au bout d'un an de relation pour que le couple Rowenä/Berlioz éclate au grand jour ... Cette erreur à été pour lui la pire de toute sa vie, il se demande pourquoi il a couché avec Rheagan la petite sœur de son ex. C'est bien trop tard de s'en vouloir maintenant, il fallait réfléchir aux conséquences bien avant de faire l'acte.

Voilà deux mois qu'elle ne donne plus aucun signe de vie à personne. Il lui a brisé le cœur et bien plus encore, d'ailleurs après cette trahison elle s'est même pas donné la peine de revenir en cours. Ne la revoyant plus, celui-ci se décide une bonne fois pour toute de prendre son courage à deux mains et de débarquer devant sa maison. Il venait de sonnait à l'interphone mais, aucun signe de vie semblait paraître dans la maison. « Ouvre-moi je sais que tu es là. Ton courrier déborde et ton chien doit crever de faim ... » Marmonna-t-il d'une voix haute pour qu'elle entende ses paroles à travers la porte. « Vas te faire mettre Carter-Duma ... » Entendait-il à travers la porte mais, malheureusement cette voix n'était pas celle de Rowenä mais, l'une de ses jours. Certainement, la sœur avec qui il avait finalement fini dans le même lit le soir ou Rowenä les avaient retrouvés. « Tu veux quoi à ma sœur ? Tu lui as pas assez brisé le cœur, c'est ça ? » Rétorquait-elle Eden la petite sœur de Rowenä. Il voulait simplement s'expliquer avec elle et la laisser une bonne fois pour tout si c'était réellement ce qu'elle voulait mais, Berlioz était arrivé trop tard malheureusement. « Ok, je vois que tu n'as rien à dire de très important ... » C'est à ce moment-là que Rhegan referma la porte mais, elle ne fut pas plus rapide que lui et il mit son pied pour bloquer la porte et pour finalement rétorquer. « Je sais, je suis le pire salopard qui peut exister sur terre je le reconnais. Mais, je ne suis pas le seul coupable dans l'affaire je devrais te faire signaler. Si tu as sœur jumelle n'arrêterait pas de me tourner au tour en sachant que j'étais avec sa sœur tout ceci ne se serait jamais passé. Mais, dis-moi seulement où Rowenä se trouve s'il te plaît ? » Soufflait-il d'une voix triste mais, elle restait insensible face à sa douleur qui semblait être totalement fausse à ses yeux. Il sait pertinemment qu'elle lui balancerait certainement pas l'endroit où elle se trouve actuellement mais, autant y aller au culot et tout faire pour le savoir. « Que tu souffres Carter-Duma, je m'en contre-fiche si tu veux savoir ! Par contre, ramassé ma grande sœur à la petite cuillère je dois t'avouer que j'ai moyennement apprécie. Et, je risque encore moins de te balançait où elle se trouve en ce moment ! Mais, sache qu'une chose c'est qu'elle ne vit plus sur New York mon grand, fait toi une raison. » M'annonçait-elle sans aucun scrupule mais, surtout insensible face à Berlioz. Il récolte seulement ce qu'il avait semer comme embrouille et c'était bien fait pour lui. « C'est le moment de se dire au revoir, je pense. » Dit-elle avant de refermer brusquement la porte au nez du jeune damoiseau.