La vie en France...Salut ! Je m’appelle Katniss Lovaleen Garreth et je suis américaine. J'ai vu le jour à Manhattan mais mes parents sont parties quelques mois après ma naissance vivre en France. Pourquoi? Je ne sais pas, peut être voulait il retrouver mon vrai père, que je ne connait toujours pas. Je sais seulement de lui qu'il est Français et qu'il s’appelle Nicolas. Mon père à quitter ma mère seulement un mois après qu'elle sois tombée enceinte de moi, mais par chance, ma mère à rencontrer Peter, qui deviendra comme mon père, même si je sais qu'il n'est pas mon vrai père biologique, je l'aime comme si il l'était pour de vrai. Ma mère était une femme banale, elle n'aimais pas en faire trop, ni étaler son argent, toujours à tout prévoir, elle est devenue pour moi une sorte de modèle, chaque mois au lieu de flambée son argent dans des choses inutiles, elle les mettais de côtés pour les études pour moi ou encore au cas ou un pépin nous tombais dessus, et jusque maintenant, elle à eu raison de faire ça. Moi? Vous savez il n'y à pas grand chose à dire... Petite j'était très timide, j'avais peur d'approcher les gens, alors je n'avais pas énormément d'amis, je restait plutôt cacher dans les jupes de ma mère comme on dis. Je préférais totalement, lire un bon livre plutôt que d'aller jouer avec mes copines. Très intelligente, à 10 ans, ma mère m'inscrivais déjà dans une des plus grandes facs d'Amérique pour quand j'irais. Bien entendu que je trouvais ça gentil et mignon. Mais à 10 ans, j'était totalement indécise sur ce que je voulais faire. Ce n'est qu'à 16 ans que j'ai sût. Alors que je me promenais dans Paris, un homme à fais un arrêt cardiaque, très vite, tout le monde s'est mis autour de lui pour voir ce qu'il se passais, un homme est arriver et à demander de se décaler pour rester respirer l'homme. Tout le monde l'a écouter et le regardais comme si il était une sorte de super héros. J'ai détailler cet homme pendant quelques minutes alors qu'il sauvais l'inconnu au sol, puis je me suis dis, c'est ça que je veux faire. Deux ans plus tard, ma mère se retrouvais à l'hôpital, un cancer. Diagnostiquer trop tard, il était impossible de la sauver. Je me suis toujours demander qu'elles étaient ses dernières pensées. Ma mère nous quittait à peine deux semaines après son entrée aux urgences. Dans son testament, la femme avais préciser vouloir être enterrer dans sa terre natale, Brooklyn. Quelques jours plus tard, nous partions avec mon père, pour retourner où j'était née.
Le début du commencement...J'avais donc 18 ans quand nous sommes retourner vivre à New York avec mon père, très triste de la disparition soudaine de ma mère, nous sommes restés de long jours enfermer dans notre petit appartement à essayez de remonter la pente. Mais voyant que ça ne pouvais plus durer, je renvoyais mon père chercher du travail, pendant que moi, je partait m'inscrire à la fac, un an en avance. J'était la plus jeune de ma promotion, mais je m'en fichais, je n'était pas là pour me faire des amis, mais pour travailler. Les gens me prenais souvent pour une folle, une intello. Je n'allais jamais en soirée, je ne buvais pas, ne fumais pas. J'était une véritable bête de foire dans les couloirs de ma fac. Mais ne lâchant rien, je devint partie rapidement en tant qu'interne dans l'hôpital de New York. Ma première opération fut mon propre père, enfin, j'aurais dût l'opérer. N'ayant pas le même nom de famille, personne n'aurais pût se douter qu'il s’agissait de celui qui m'avais élever toute ma vie. Passionnée par la moto, celui ci avais eu un grave accident, et il devais se faire opérer rapidement. Mais... Devant lui, rien. Incapable de bouger. Mes mains tremblais, de grosses larmes coulaient. J'avais peur de le perdre lui aussi. Je regardais le médecin en face de moi,
« C'est mon père... Je ... Je peux pas. » Je lâchais tout et quittait l'hôpital. J'ai perdue mon père et mon emploi par la même occasion. Dépiter, je me suis laisser sombrer dans la dépression quelques temps. Ne voulant plus sortir de chez moi, je passais mes journées à lire encore et encore. Quand j'allais mieux, je voulu retourner à l'hôpital qui me revoyais à la fac. Je devais refaire une année, histoire de me forger le caractère... Étant timide, ce n'était pas gagner d'avance.