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Sujet: Lorsque nos deux âmes se mêlent [PV:Haytham] Mer 9 Jan - 21:09
Douce journée pour la demoiselle, la croate était en week-end anticipée depuis la fin de ses examens, soit depuis environ une heure. Plus ou moins fière du résultat de ses écrits, elle ne préférait pas rester sur un échec et elle avait pris la décision de s'aérer l'esprit, de passer du temps dehors avec ses amis, avec des gens qu'elle appréciait pour éviter de penser à son hypothétique échec pour son premier semestre. Tous le monde disait d'elle qu'elle n'avait aucune raison de s'en faire pour ses résultats scolaires et c'était bien pour ça qu'elle s'inquiétait ! Que se passerait-il si on apprenait qu'elle avait échoué, enfin si c'était le cas ? Perdrait-elle sa réputation d'élève modèle, sérieuse et assidue ? Vétue d'une simple jupe inspirant les pervers du parc dans lequel elle se trouvait à ce moment, elle n'avait que faire qu'on la regarde vu qu'elle était occupée, assise dans l'herbe grassouillette à dessiner le paysage urbain s'étendant à perte de vue devant elle. New York était vraiment une beauté pour une étrangère comme elle venant d'Australie. Non pas qu'elle ne soit pas habituée à vivre dans une ville, mais elle était loin d'être encore habituée malgré les années à la ville mondiale qu'était la Big Apple.
Armée d'un crayon à papier bien taillé, tout comme son esprit acéré et vivace sur tous les sujets demandant de la réflexion, elle se mit à donner un coup de crayon sur son bloc note. Non pas vraiment douée en art, elle était plutôt en train d'essayer de trouver une activité pour se détendre tout en attendant ce charmant Haytham. Il était vrai qu'il n'était pas du tout désagréable à regarder, malheureusement elle n'était pas le genre de fille se satisfaisant d'une partie de jambes en l'air, ceci expliquant surement son célibat hérité de son sale caractère. Oui, il était vrai que la demoiselle était une vraie amazone face aux hommes, elle ne leur cédait jamais une once de son territoire de peur de se retrouver sous le joug d'un homme faisant passer ses désirs avant les siens. Pauvre victime de la société actuelle, elle conclut son dessin avec une pointe de hargne en repensant à son ex petit ami… bon c'était du passé, mais elle ne s'était toujours pas remise de son comportement ! Bien trop focalisé sur ce dernier, elle brisa sa mine sur son bloc dans un petit crac sonore qui lui fit écarquiller les yeux « Zut… » grommela-t-elle dans sa barbe avant de chercher dans sa sacoche juste à côté d'elle, un nouveau crayon pour continuer son dessin lui servant à extérioriser ses sentiments.
Haytham S. Jerminson
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Sujet: Re: Lorsque nos deux âmes se mêlent [PV:Haytham] Jeu 10 Jan - 20:05
Retrouvailles Professionnelles .. Ou presque !
(verlaine) ▽ Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville, Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ?
Il n’y avait de de week-end ou de vacance le travail venais et partait c’était un peut comme l’argents jamais fixe mais pourtant toujours présent. Il avait terminer ses étude il y à maintenant deux ans et dans son travail il était déjà réputer pour un travail d’apoint, formidable. La direction avait déssider de mettre sous son aile un journaliste de simple revus de mode pour lui montrer se qu’était les feu de l’action, déjà qu’il n’était pas trop pour… On ne lui avait pas dit que c’était son ex face à face il du voir en face que déjà qu’il l’aimer toujours qu’elle sorter avec une femme dur vérité pour un homme qui avait passer dix ans de sa vie à chercher la jeune femme. Il arriver dans les environs du parc marchant sur la pelouse verte, le célibat était surement le mieux pour lui au final, il le penser fort, car Haytham avait un manque potencielle d’affection avec la mort de sa mere et le depare inatendu de sa petite ami il avait eu juste le droit de reprendre le flambeau de la bande de malfrat dont son père était le chef, histoire qui n’avait durer que jusqu’au depart de la belle. Il arriver voyant la jeune femme assise par terre il souriait en coin en regardant se qu’elle fesait « c’est senser representer quoi ton dessin ? » il avait toujours le style pour l’embeter