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 SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE

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Spencer T. Wellins
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Spencer T. Wellins


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MessageSujet: SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE   SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE EmptyJeu 22 Nov - 12:47


Spencer Timothy Wellins

My ID card
Je m'appelle Spencer Timothy Wellins. J'ai montré le bout de mon nez le 20 août 1986, il y a maintenant 26 ans. Je suis sûr qu'en me regardant ma photo tu te dis, je l'ai vu quelque part. En réalité dans la vie je suis Musicien à mi temps et malgré tout ce qu'on peut dire, je garde les pieds sur terre. D'ailleurs, je fais même partie du groupe des New-Yorkais et je suis fier de rejoindre leur rang. Dans ce monde de fou, je suis hétéro. Si tu me croise dans les rues de New York, tu pourra certainement me confondre avec Andrew Garfield. Je voudrais te dire une dernière chose, dans la vie tu entendra surement des rumeurs sur mes proches ou encore sur moi, mais sache que je suis célibatairamoureux et que je suis bien ainsi. Voilà, je pense avoir fait le tour, après tout, on n'est pas dans les confidences non ?
More about me

◣ Issu d'un milieu aisé
◣ Il a perdu sa soeur à l'âge de 7 ans, il a eu a la suite de cet évènement un déclenchement de schizophrénie.
◣ Il a travaillé plusieurs années au FBI, service des sciences du comportement en tant que profiler. Il a quitté le FBI car ses collègues commençaient à avoir des doutes quant à sa schizophrénie, or il ne veut que personne ne le sache, sans quoi il devra se faire soigner, chose qu'il refuse catégoriquement.
◣ Il ne croit pas en l'amour et sort avec des dizaines de femmes qui lui servent de cobayes, il les draguent afin de connaitre un max de choses sur elles.
◣ Il est traqué par certains membres du FBI car il a fouiner là ou il n'aurait pas du le faire.

Behind the screen
ton pseudoMélo. ton prénomMélody ton âgeJe sais pas compter ! ta régionCentre. ton avis sur nysomsympatoch ! où l'as-tu connu ?Grace à une bergère SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE 1294853530. personnage inventé, poste vacant ou scénario ?Scénario. autre compteAucun. célébritéAndrew GARFIELD.




Dernière édition par Spencer T. Wellins le Ven 23 Nov - 13:02, édité 4 fois
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Spencer T. Wellins
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Spencer T. Wellins


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MessageSujet: Re: SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE   SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE EmptyJeu 22 Nov - 12:47

Tell me a story



20 AOÛT 1986 ; HÔPITAL DE SAN DIEGO ; SAN DIEGO.


Camélia Wellins poussa une dernière fois lorsqu’elle sentit venir une contraction, elle était à bout de forces. Au bout de quelques secondes, l’on coupa le cordon au bébé qui reçu 10 au test d’Apgar. Le jeune Spencer Timothy Wellins se lova dans les bras de sa jeune maman, avocate internationale française de renom. Malheureusement, le père du garçonnet, Lauwrence Wellins ne put assister à la naissance, en déplacement à Sidney. Le jeune Spencer avait été le 2ème enfant d’une famille très aisée de New York, & ses parents s’aimaient énormément. Sa maman était française & son père Australien. Ils s’étaient rencontrés lors d’un grand meeting, rassemblant les équipes d’avocats les plus renommés au monde.

15 SEPTEMBRE 1991 ; VILLA DES WELLINS ; SAN DIEGO.


Spencer entendit des pas dans le couloir qui menait à sa chambre. Intrigué, il se leva et entrebâilla la porte qui s’ouvrit sur sa grande sœur ; Hortense.
« Retourne te coucher le nain, et si tu ouvres ta bouche devant les parents tu vas le regretter. »
Spencer voyait sa sœur sortir de plus en plus souvent, tard le soir et partir dans de grosses berlines de luxes avec d’étranges types. Il s’inquiétait beaucoup pour sa sœur aînée. Et même s’ils ne se parlaient pas avec la gentillesse et la courtoisie exigée par leurs parents, Spencer & Hortense s’aimaient énormément.
« Hortense où est-ce que tu vas tous les soirs ? Je m’inquiète pour toi moi, tu sais. »
Afin d’être sûr de recevoir une réponse de sa sœur, Spencer lui fit ses grands yeux doux. Même Hortense cédait dans ce genre de situation. Mais pas cette fois-ci. Elle essuya une larme qu’elle avait tenté de dissimuler, en vain.
« Vas dans ta chambre je te dis !»
Le garçonnet obéit en entendant les trémolos dans la voix de sa grande sœur. Hortense avait à peine 20 ans en ce temps là, et jamais ses parents n’auraient voulus qu’elle sorte de nuit. Une fois de plus, Spencer fonça vers la fenêtre de sa chambre, s'agenouilla sur son coffre à jouets & regarda la Lincoln noire s’éloigner avec sa sœur.


19 DECEMBRE 1993 ; HÔPITAL DE SAN DIEGO ; SAN DIEGO.


« Messieurs dames, je vous présente mes condoléances. »
Spencer fixait la blouse blanche du médecin en face d’eux, tenant fermement la cuisse de sa mère entre ses bras. Il savait maintenant ce que faisait sa sœur presque chaque soir depuis 2 ans. Elle portait un cancer depuis quelques années. Cependant, personne ne s’en était aperçu. Elle avait encore de longs cheveux auburn bouclés, ses yeux verts pétillaient de vie, ses ongles étaient toujours très bien manucurés. Hortense ne lui avait confié que quelques minutes plus tôt.

FLASHBACK.



Hortense invita son petit frère à s’allonger près d’elle. Il grimpa sur le lit et la jeune femme enroula de son bras de porcelaine le jeune Spencer.

« Tu te souviens lorsque je partais le soir sans que père et mère ne le sache ?

Le garçonnet de 7 ans acquiesça d’un signe de tête, la gorge trop nouée pour répondre.

Je savais déjà que j’avais un cancer. J’avais fait faire une prise de sang et les résultats étaient tombés quelques jours plus tard, cancer du foie. J’avais commencé à chercher une personne compatible pour un don d’organe, lorsqu’on me contacta par téléphone et et l'interlocuteur me dit qu'il était compatible. Je n’ai jamais su comment ils ont fait pour me trouver, ni comment ils ont fait pour savoir que j’avais un cancer. Quoi qu’il en soit, j’étais jeune et on me fit une offre alléchante. Mon corps pour quelques nuits contre un organe neuf compatible ainsi que les traitements tout frais payés, dans un hôpital qui se garderait de taire mon nom. J’acceptai leur proposition et partit le soir même pour la première fois. J’étais terrorisée et avait raison de l’être. Qu’importait, je savais qu’à la clé il y avait ma guérison.

Spencer laissait rouler ses larmes comme de grosses perles salées et affreusement amères. Bien qu’âgé de 7 ans, le jeune garçon comprenait absolument tout ce que disait sa sœur. Hortense essuya les larmes de son frère d’un revers de la main et serra un peu plus Spencer contre elle, bien qu’elle eu du mal ; ses forces s’amenuisaient au fur & à mesure que le temps passait.

Les nuits passaient, les semaines, les mois, les années. Tu t’en doute, je n’ai jamais vu l’ombre de la moindre seringue d’anesthésie se planter dans mon bras. C’était juste des salauds, des profiteurs. Mais j’y ai cru, dur comme fer. Et je sais bien que cette nuit que nous vivons est ma dernière. Et je veux que tu saches que derrière toutes les immondices que j’ai pu te dire, se cache un amour sans égal pour toi. J’ai été si heureuse le jour où j’ai appris que mon petit frère était né. Tu étais si mignon, un bon gros bébé de 3,710 kg. Tu vois, je me souviens même de ton poids au gramme près. »

Hortense resserrait aussi fort qu’elle le pouvait son étreinte autour de son petit frère. Spencer lui dit de nombreuses fois qu’il l’aimait, plus grand que le ciel, plus grand que l’univers, plus grand que l’infini. Hortense rit d’un rire que l’on devinait sincère et ôta son pendentif argenté qu'elle passa autour du cou de son petit frère. Il serra le "H" majuscule très fort dans sa main tout en se lovant contre sa sœur qui ferma les yeux. Les minutes filèrent, Spencer inspirait à plein poumons le parfum de sa sœur avant qu’elle ne s’en aille. Un parfum sucré, de framboise et de meringue, un parfum d'échoppe de sucrerie, un parfum d'enfance volée, de vie volée. Pourtant, Hortense ne se parfumait jamais. Elle avait horreur des parfums, cela lui piquait la gorge. A 2h04 du matin, l’aiguille de l’électrocardiographe traçait des pics de plus en plus petits. Pour ne plus les voir, le jeune garçon cacha sa tête sous les draps blancs en se lovant toujours plus contre Hortense. Quelques minutes plus tard, le tracé devint linéaire et Hortense s’éteignit, un sourire serein sur son visage. Spencer ne parla pas des hommes aux Lincoln noires à ses parents. Ils auraient eut tellement honte que le nom de leur famille soit salie de la sorte, et Spencer voulait préserver la mémoire de sa sœur. Un médecin entra, puis deux, car le jeune hgarçon serrait incroyablement fort le corps encore chaud de sa sœur. Il savait que les dernières images qu’il garderai d’elle ne devaient pas être des images qui le feraient souffrir. Il se résolut donc à suivre les médecins, en prenant soin d’embrasser sa sœur une énième et dernière fois.


20 JUIN 2010, FBI SERVICE DES SCIENCES DU COMPORTEMENT ; QUANTICO.


Spencer marchait sous la pluie battante qui était sur la ville depuis une bonne heure. Il avait quitté le service à 4h du matin, et n’y remettrait pas les pieds. Pourquoi ? Parce ses collègues devenaient de plus en plus suspicieux. En effet, Spencer présentait des troubles du comportement depuis le décès de sa soeur. Il tapotait frénétiquement sa cuisse du bout des doigts selon un ordre et un rythme précis lorsqu'il ne faisait rien, c'était là le seul indicateur de sa maladie, pas diagnostiquée officiellement. Il est en apparence normal, mais c’est sur les bancs de l’université que la différence se voit. Il a fait la pige à plus d’un professeur, et c’est cela qui le fit quitter l’université. Simplement parce qu’il ne voulait pas se faire soigner pour sa soi-disant maladie. Pour lui, être supérieurement intelligent aux autres personnes n’étaient pas un handicap. Car oui, selon ses collègues, les personnes qualifiées de génies cachent, dans une partie des cas, des troubles mentaux sévères. Mais Spencer refuse catégoriquement de se faire ne serait-ce que diagnostiquer schyzphrène. A ses yeux, il ne l'était pas. Est-ce parce que l'on a un QI de 188 que l'on est forcément schyzophrène ?


1er FERVRIER 2012, COMMISSARIAT DE LAS VEGAS ; LAS VEGAS.


« Oui, je sais très bien que vous êtes le commissaire R. Wilson. »
Il aurait voulu porter les mains à sa tête, tant il sentait qu'elle allait éclatée. Mais il ne voulait montrer aucun signe de faiblesse devant ceux qui étaient autrefois des collègues. L'homme au ventre fort rond s'assied en face de lui, le fixa un moment avant de répondre au jeune homme ;
« Ecoute, gamin. Les chieurs dans ton genre, ça défile ici. Alors c'est pas toi qui va me faire gober de telles salades. Ton soi-disant ancien supérieur au FBI, Moore, on l'a contacté. Et devine ce qu'il m'a répondu ? Qu'aucun Spencer Timothy Wellins n'as jamais foulé le sol du FBI en tant que profiler. C'est con hein ? Alors, maintenant que ton bobard tombe à l'eau, tu vas te décider à nous raconter ce qu'il s'est réellement passé ? »
A ces mots, Spencer soupira, las. Mais il finit par dire ;
« Je vous ai déjà raconter la vérité sept fois. Il vous en faut une huitième pour que vous saisissiez ? Ou alors faudrait ralentir les donuts, le gras a du boucher vos oreilles de choux. »
Il ne fallut que deux secondes pour que la main boudinée du commissaire donne un ordre a deux agents, qui se firent une joie de donner chacun un coup de poing dans la mâchoire du jeune homme. Spencer cracha le sang qui lui était venu dans la bouche sur le linoléum gris, à quelques centimètres des chaussures impeccablement cirées du commissaire, avant de jeter un regard noir à ce dernier. Ce dernier lâcha avec un sourire que l'on devinait sadique, il était visiblement fier de lui ;
« Peut être que la mémoire t'es revenue, alors je t'écoute. »
Spencer haussa les épaules et narra son histoire une fois de plus.

QUELQUES HEURES PLUS TÔT


Spencer rentrait chez lui après une soirée dans une boîte de Jazz. Et oui, il aimait toujours autant jouer du saxophone. Il emprunta une ruelle, débouchant sur un terrain vague et un vieux parking. Là, trois types en noir se dressaient fièrement devant lui, à trois cent mètres à peine. Spencer préfera ne pas tenter le diable en contournant le trio, empruntant un autre chemin. Deux des hommes commencèrent à le suivre, le jeune homme pressa donc le pas. Le troisième homme se posta juste devant lui, ne laissant à Spencer aucun échappatoire. Le terrain vague était désert, ils étaient quatre silhouettes se détachant à peine de l'éclairage jaunâtre des lampadaires. Ils formèrent un cercle autour de lui, puis l'un d'entre eux lança ;
« Alors Wellins, tu réponds pas aux appels du chef ? »
Spencer déglutit, les trois types devaient être des agents sous couverture. Il leur répondit un ferme "dégagez, je n'ai aucun compte à vous rendre" qui les fit se rapprocher du jeune homme.
« C'est Moore qui vous envoient ? »
L'un des hommes eu un sourire en coin et répondit ;
« Peut être. Ou peut être pas. Tu vas faire quoi maintenant ? »
« Dites à Moore qu'il peut aller se faire foutre ! »
Cela ne plu pas aux types, qui s'en prirent à Spencer. Il ne savait pas depuis combien de temps il endurait les coups, mais il devait tenir, resister à la pression que le FBI mettait sur lui. Aussi bien au sens propre que figuré... Soudain, des faisceaux lumineux déchirèrent l'obscurité. Les phares des voitures de polices aveuglèrent Spencer, qui ferma les yeux et sombra. Pendant ce temps là, les trois types montrèrent leurs plaques d'agents. Ils expliquèrent aux policiers que Spencer possédait une arme et qu'il avait tenté de leur tirer dessus, ils n'avaient fait que le neutraliser et prendre la drogue qu'il dissimulait. A son réveil, assit sur une chaise glacée d'un poste de police, il entendit ses droits ainsi que les motifs pour lesquels il avait été arrêté. Détention de drogue, port d'arme sans permis, tentative d'homicide sur un agent.

RETOUR AU PRESENT


Bien sûr, Spencer n'avait pas d'arme. Les agents avaient récupérés son arme de service pour la mise en scène. Ils avaient aussi glissé un sachet d'herbe dans sa poche. Le jeune homme ne pouvait se défendre, c'était sa voix contre celle du FBI. Le commissaire en eut assez d'entendre l'histoire du jeune homme, il cria un "Dégagez moi ça!", et Spencer fût relâché. Il demanda à un taxi de le conduire à l’hôpital le plus proche, ayant vraiment besoin de soin. Après s’être fait soigné, il passa la nuit dans un centre de sans abris, n’ayant pas la force ni l’envie de rentrer chez lui. Quelques semaines plus tard, il quitta Las Vegas pour New-York.




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Spencer T. Wellins
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MessageSujet: Re: SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE   SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE EmptyJeu 22 Nov - 14:38

Bon alors désolé du triple poste.. Mais j'ai FIIIINIIIIII SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE 1294853530
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M. Lyson Weston-Lewis
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MessageSujet: Re: SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE   SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE EmptyJeu 22 Nov - 17:03

Tu sais ce qu'elle te dit la " Bergère " Wellins ? SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE 4186136012 SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE 2774444739
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Jilian-Louve Z. Donovan
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MessageSujet: Re: SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE   SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE EmptyJeu 22 Nov - 17:35

je te valide alors

Félicitation, tu es validé !
Je te souhaite la bienvenue chez les New-Yorkais. Maintenant que tu rejoins New York State Of Mind, tu dois allé recenser ton avatar et par la suite faire ta fiche de lien. Tu peux aussi avoir un logement. Pour t'intégrer plus facilement, le flood, les jeux et surtout la CHATBOX sont à ta disposition. Tu veux aider New York State Of Mind ? Et bien tu peux voter ou encore posté un message sur bazzart et/ou pub rpg design.

L'avis du staff
belle histoire avec le flashback itou itou !

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MessageSujet: Re: SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE   SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE EmptyJeu 22 Nov - 17:52

MELOOOOO SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE 2200539846 SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE 2774444739 SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE 2312883081 I love you

bienvenue à toi parmi nous ma petite chérie de mon coeur, tu m'as trop manqué SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE 1406932355
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Spencer T. Wellins
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MessageSujet: Re: SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE   SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE EmptyJeu 22 Nov - 18:22

LYSON ► Elle me dit quoi la bergère ? SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE 4186136012 SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE 160683007

JILIAN ► Merci beaucoup & merci beaucoup SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE 2774444739

NALA ► Vas y, même pas tu me dit que t'es sur NYSOM toi SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE 1564951935 SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE 2774444739

Et sur ce j'arrête le flood SPENCER ► IL N'EST PIRE DOULEUR QUE LE SOUVENIR DU BONHEUR AU TEMPS DE L'INFORTUNE. DANTE 1294853530
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