Lynelle x when your eyes tell's everything

Lynelle & David

« when your eyes tell's everything »

Le soleil s’était levé ce matin avec une chaleur confortable. Lorsque j’ai mes pieds sortie de mon lit lorsque je dors très bien et même que lorsque je bouge beaucoup quand je commence à rêver un peu trop lorsque j’ai chaud, ceci me chatouille un peu. Je me suis lever d’un monotone ce matin, car nous avions fait une égalité avec le Galaxie de Los Angeles. Nous avions eu une belle soirée jusqu’à temps qu’un de mes charmants coéquipiers décident de boire une bière de trop. Ceci a mis vraiment notre équipe dans l’embarra et tout New York parle de celui qui a décidé d’avoir l’aire con. Je ne me suis pas mêlé à cette activité négative parce que moi, j’ai simplement mangé mon soupé, parler avec des fans qui adoraient la soirée et surtout que beaucoup me connaisse avec la marque que j’ai laissé en Europe et surtout que je ne croyais pas parler pour plusieurs heures avec un fan qui est devenu un très bon ami à mes yeux. Ce matin, je pris ma douche, je pris un bon déjeuné et je me suis habiller d’un jeans, je mis mes pumas noir, un chandail à manche longue Hunder Harmer blanc extrêmement moulent et j’enfilais mon manteau en cuire. J’avais l’intention d’aller me changer les idées au central parc parce que beaucoup de chose me rendait nerveux depuis plusieurs jours. Je ne sais pas quoi, mais j’aimerais beaucoup pouvoir trouver ce qui me chicotte le plus. J’enfilais mes lunettes de soleil et mis mon portefeuille dans ma poche arrière de mon jeans. Je pris la route à pied parce que ressentir la chaleur du soleil et aussi la fraicheur de l’automne. Les feuilles mortes en dessous de mes pieds, ceci est quelque chose que je n’avais jamais expérimenté avant aujourd’hui. Je crois bien que c’est cela qui me tient si nerveux. Le changement de température qui me perturbe. Toujours avoir l’impression que c’est l’été dans mon pays natale me rend très habituer de savoir qu’il n’y aura pas de neige. Lorsque je jouais contre mon frère en Angleterre, le temps était aussi mauvais qu’ici. J’arrivais aux portes de central parc et je pris le temps de regarder dans les alentours. Je crois que ceci est mon centre d’attraction préféré avec le stade de foot pour me relaxer. Si je ne trouve pas d’endroit pour me relaxer au milieu de la nature, je crois vraiment que je vais devenir fou. J’aperçu des enfants jouer au foot et ceci me fis sourire. Je marchais toujours dans la même direction en les regardent jouer et s’en faire attention, j’heurtais une personne en faisant exprès parce que j’avais la tête ailleurs.

« Oh mon dieu. Pardonner moi… » Dis-je en apercevant une jolie demoiselle aux cheveux dorée et aux yeux vert pomme.